Le chien perdu de François Mitterrand
Auteur réalisateur : Alberto Segre
Genre : Fiction
Durée : 30 minutes
Co-producteur : Les films de l'heure bleue
Festivals : Festival International de Contis
Vasteras Film Festival (Suède)
Cervignano Film Festival (Italie)
Corto Dorico Film Festival (Italie)
Visioni Italiane (Cinémathèque de Bologne)
Festival Travelling - Prix du public
Festival du cinéma de Douarnenez
Great Lake International Film Festival
Mediawave Festival International Film and Music Gathering
Festival International du Film Vidéo de Vebron
Financements : Pré-achats France 2, TVR, Tebeo et Tebesud, Région Bretagne, Département du Finistère, CNC - FSA et ADAMI
Genre : Fiction
Durée : 30 minutes
Co-producteur : Les films de l'heure bleue
Festivals : Festival International de Contis
Vasteras Film Festival (Suède)
Cervignano Film Festival (Italie)
Corto Dorico Film Festival (Italie)
Visioni Italiane (Cinémathèque de Bologne)
Festival Travelling - Prix du public
Festival du cinéma de Douarnenez
Great Lake International Film Festival
Mediawave Festival International Film and Music Gathering
Festival International du Film Vidéo de Vebron
Financements : Pré-achats France 2, TVR, Tebeo et Tebesud, Région Bretagne, Département du Finistère, CNC - FSA et ADAMI
Synopsis : Au mois d’octobre 1993, Zakia, une femme de 65 ans d’origine algérienne, recueille un chien qui s’est perdu dans les rues de Paris. Pourtant ce chien a bien un maitre qui pourrait être François Mitterrand, dont le labrador vient de s’échapper du palais de l’Elysée.
Un mot du réalisateur : Le chien perdu de François Mitterrand est l’histoire de deux quêtes identitaires parallèles : il y a d’une part le pouvoir qui s’effrite sous le coup du chômage et de la récession incitant les socialistes à s’interroger sur leur identité, d’autre part Zakia, qui est confrontée à plusieurs manières de s’intégrer à la société française en fonction des membres de sa famille.
Mettre en relation l’intimité du foyer de Zakia avec les grands dilemmes d’un parti républicain me permet de faire émerger plusieurs analogies et jeux de miroir entre les personnages et les époques. Le chien du président, symbole fort de l’identité républicaine, inverse ainsi les rôles pendant quelques jours : ce symbole se retrouve dans les mains de Zakia, issue de l’immigration, ou du moins le croit-elle.
Un mot du réalisateur : Le chien perdu de François Mitterrand est l’histoire de deux quêtes identitaires parallèles : il y a d’une part le pouvoir qui s’effrite sous le coup du chômage et de la récession incitant les socialistes à s’interroger sur leur identité, d’autre part Zakia, qui est confrontée à plusieurs manières de s’intégrer à la société française en fonction des membres de sa famille.
Mettre en relation l’intimité du foyer de Zakia avec les grands dilemmes d’un parti républicain me permet de faire émerger plusieurs analogies et jeux de miroir entre les personnages et les époques. Le chien du président, symbole fort de l’identité républicaine, inverse ainsi les rôles pendant quelques jours : ce symbole se retrouve dans les mains de Zakia, issue de l’immigration, ou du moins le croit-elle.