Pendant que Rome brûle
Auteure réalisatrice : Marie Queinec
Format : Super 8
Durée : 47 minutes
Format : Super 8
Durée : 47 minutes
Synopsis : Quand Aurélie me confie son ras-le-bol de ne pas “pouvoir faire ce qu’elle veut quand elle veut”, je réalise que sa nouvelle condition de maman n’est pas du tout naturelle. Elle a dû aller au fond d’elle pour gérer la transition de couple à famille. Avec le recul qu’elle en tire deux ans après, elle cherche avec Pierrot ce qu’ils doivent transmettre à leur fils et comment retrouver un équilibre à trois.
Un mot de la réalisatrice : Pendant que Rome brûle aurait pu s’appeler Aurélie. De ma rencontre avec elle sont nées toutes sortes de questions en relation avec ce qu’elle était en train de traverser. Après 8 ans de vie de couple, en 2014, Aurélie et Pierrot, son compagnon, ont un enfant. A cette période, ils vivent loin de leurs familles respectives, dans les Vosges. C’est un moment très dur pour eux, particulièrement pour Aurélie qui se replie sur elle-même.
Le plus évident dès le début est qu’Aurélie est au centre du film. Je me lance donc dans la fabrication d’un portrait avec comme idée fixe de bien réussir à dépeindre le personnage d’Aurélie, surtout son énergie.
J’ai souhaité que l’on découvre Aurélie par le biais de conversations dans sa vie de tous les jours, sur la lancée de celles qu’on avait commencé à partager. Naturellement, le son est devenu le fil rouge du film. La prise de son a donc été désynchronisée de la prise d’images dès le début.
Un mot de la réalisatrice : Pendant que Rome brûle aurait pu s’appeler Aurélie. De ma rencontre avec elle sont nées toutes sortes de questions en relation avec ce qu’elle était en train de traverser. Après 8 ans de vie de couple, en 2014, Aurélie et Pierrot, son compagnon, ont un enfant. A cette période, ils vivent loin de leurs familles respectives, dans les Vosges. C’est un moment très dur pour eux, particulièrement pour Aurélie qui se replie sur elle-même.
Le plus évident dès le début est qu’Aurélie est au centre du film. Je me lance donc dans la fabrication d’un portrait avec comme idée fixe de bien réussir à dépeindre le personnage d’Aurélie, surtout son énergie.
J’ai souhaité que l’on découvre Aurélie par le biais de conversations dans sa vie de tous les jours, sur la lancée de celles qu’on avait commencé à partager. Naturellement, le son est devenu le fil rouge du film. La prise de son a donc été désynchronisée de la prise d’images dès le début.