Taymour et Yasmine
Auteur réalisateur : Viken Armenian
Genre : Fiction
Durée prévisionnelle : 100 minutes
Financements : Bourse d’aide à l’écriture de la fondation Beaumarchais-SACD, Région Ile de France Aide à l’écriture, Région Nouvelle-Aquitaine - Aide au développement et Fonds Innovation Long Métrage
Genre : Fiction
Durée prévisionnelle : 100 minutes
Financements : Bourse d’aide à l’écriture de la fondation Beaumarchais-SACD, Région Ile de France Aide à l’écriture, Région Nouvelle-Aquitaine - Aide au développement et Fonds Innovation Long Métrage
Synopsis : Taymour et Yasmine se sont rencontrés sur un bateau de fortune entre la Turquie et une île grecque. Ils sont Syriens. Ils sont jeunes. Dans leur vie d’avant, il était rocker, elle était étudiante.
A la manière de deux naufragés sans attache, ils parcourent le Sud de la France à la recherche de leur destin.
Un mot du réalisateur : À l’origine de ce projet, il y a ma rencontre avec la scène rock syrienne réfugiée dans un premier temps à Beyrouth et qui, depuis, a pris, en empruntant, comme beaucoup de Syriens, les bateaux de fortunes, le chemin de l’Europe. Pour autant, je n’ai pas cherché à retranscrire leur histoire ou à retracer leurs vies.
J’ai voulu raconter l’histoire de deux jeunes réfugiés qui n’auraient pas pour objectif premier et pragmatique la recherche d’une insertion sociale ou économique comme l’on s’y attendrait de leur part, mais seraient surtout portés par leur mélancolie profonde et leur soif de liberté informe.
Dans un monde où ils ont tout perdu, ils s’abandonnent ensemble à une errance désenchantée et fugitive. Comme deux survivants dans l’impossibilité de se reconstruire, ils se laissent porter par une jouissance immédiate.
A la manière de deux naufragés sans attache, ils parcourent le Sud de la France à la recherche de leur destin.
Un mot du réalisateur : À l’origine de ce projet, il y a ma rencontre avec la scène rock syrienne réfugiée dans un premier temps à Beyrouth et qui, depuis, a pris, en empruntant, comme beaucoup de Syriens, les bateaux de fortunes, le chemin de l’Europe. Pour autant, je n’ai pas cherché à retranscrire leur histoire ou à retracer leurs vies.
J’ai voulu raconter l’histoire de deux jeunes réfugiés qui n’auraient pas pour objectif premier et pragmatique la recherche d’une insertion sociale ou économique comme l’on s’y attendrait de leur part, mais seraient surtout portés par leur mélancolie profonde et leur soif de liberté informe.
Dans un monde où ils ont tout perdu, ils s’abandonnent ensemble à une errance désenchantée et fugitive. Comme deux survivants dans l’impossibilité de se reconstruire, ils se laissent porter par une jouissance immédiate.